SAUVAGE ÉTAIT LA CÔTE

En version papier et numérique !

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Saint-Pierre Quiberon terminus ? Sans aucun doute, pour le vieux professeur Paul Klein, assassiné dans ce petit village tranquille, niché à quelques encablures de la côte sauvage.

Quelle vengeance implacable vient faire voler en éclats la sérénité de la bourgade et raviver les fantômes du passé ? En tout cas, personne ne semble vouloir les affronter de nouveau. Car si le mur de l’Atlantique n’est plus que vestiges délabrés, certaines mémoires, elles, sont intactes.

Le commissaire Orlando Muller, de la brigade de Vannes, n’a que peu d’indices pour élucider la mort de ce vieil homme apparemment sans histoire : un plan du bourg surligné et un ticket d’entrée du musée d’Orsay. Il sera aidé, tant bien que mal, par son équipe hétéroclite : un séducteur trompé, une geek au langage fleuri et un vieux rat de bureau plus taillé pour garder le fort que pour traquer les criminels en eaux vives.

Malgré le manque cruel de preuves et des témoins taiseux, sa persévérance le conduira à nouer avec ses collègues allemands des relations d’un genre inattendu.

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NB La fin du roman ne répond pas vraiment aux règles habituellement en vigueur car le lecteur est le seul à connaître le fin mot de l’histoire. Un indice page 332 (un mot !) aide cependant à la compréhension. Comme si l’auteur avait refusé de mener l’enquête jusqu’à son terme…