Critique parue dans « Le journal des propriétaires de la baie de Quiberon »

Sur la trace des embruns toxiques

Après un premier polar réussi, publié l’an dernier, Sauvage était la côte, Bernard Méhaut, enseignant à la retraite, domicilié près de Vannes, livre un deuxième récit policier tout aussi haletant. Cette fois, tout débute à Vannes, dans le spa d’un hôtel de luxe, où une photographe parisienne a eu le malheur de descendre…

L’ouvrage est paru le 18 juillet, trop tard pour que nous puissions vous le conseiller pour le lire sur la plage, mais il serait dommage de passer à côté de ce roman bien troussé, qui emmène le lecteur dans le Finistère et ses enclos paroissiaux et sur l’île de Jersey. Après tout, il sera tout aussi agréable à dévorer pendant les soirées d’hiver à venir, au coin du feu ou sous la couette…

” Le journal des propriétaires de la baie de Quiberon ” (sept / octobre 2014)